Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire.

On trouve des variantes de cette citation attribuée à tort à Voltaire : Je déteste ce que tu dis mais je me battrai pour que tu aies le droit de le dire, ou encore -sans le tutoiement révolutionnaire- : Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire.

J'allais sortir Monsieur Tommy pour sa promenade dominicale quand j'ai reçu ce courriel que je souhaite partager avec vous. Bonne lecture.

Madame, Monsieur,

C'était inattendu, cela constituera un intermède dans notre commentaire sur le Science et pseudo-sciences 287.

Plus d'un mois après le début de la mise en ligne de notre long commentaire sur le numéro spécial anti-astrologie de la revue de l'AFIS, Science et pseudo-sciences N°287, nous pouvons faire un premier bilan pas très surprenant mais forcément décevant : les sceptiques brillent par leur silence. En effet, bien que nous ayons signalé notre texte à un peu tout ce qui fait de sceptique, toutes les réactions que nous avons eues proviennent du monde astrologique, soit pour nous encourager dans notre voie, soit pour s'interroger de l'intérêt de tels discussions si les sceptiques concernés sont de mauvaise foi. Mais du côté sceptique, rien......

La dernière personne qui nous a écrit n'est ni plus ni moins qu'Elizabeth Teissier, à qui nous avions signalé aussi notre dossier dans lequel nous reprochions à l'AFIS de ne pas aller au bout de ses analyses vis à vis d'elle. E.T. nous ayant proposé de publier son mail sur notre site, puisqu'il concerne tant sa personne, son travail que notre travail à nous, que nous nous faisons un plaisir de le mettre en ligne et en profitons pour lui répondre.

Intermède : Elizabeth Teissier réagit à ce texte

http://www.lastrologie-et-la-raison.net/sciences_pseudosci_ET.htm (si le lien ne fonctionne pas, "coupez et collez" - JL)

constituera une parenthèse dans notre dossier, il faut reconnaître qu'elle est la seule à avoir souhaité réagir à certains contenus du texte.
En vous souhaitant bonne lecture...

Serge Bret-Morel