MON TOUT PREMIER CHEQUE D’ABONDANCE ET UNE LECON DE SATURNE
J’ai reçu deux demandes pour que je raconte l’histoire de mon premier chèque d’abondance. La voici.
Vers la fin 2007 j’avais des difficultés financières et je n’arrivais pas à gérer mon compte professionnel. Mes clients ne me payaient pas forcément en temps et en heure et je n’avais pas de découvert autorisé. Je suis sûre que tout le monde connaît le scénario. Je dois dire aussi que je ne faisais pas le nécessaire pour mettre de l’ordre dans mes affaires. Je laissais traîner la situation, comme toute bonne jupitérienne (Jupiter régit aussi ma Maison II – les finances) et ma banque a fini par ne plus régler mes prélèvements automatiques, tout en me faisant payer les agios. Tout le monde sait qu’une telle situation est le début d’une spirale infernale – une spirale descendante bien sûr.
Finalement, j’étais « invitée » à aller voir le directeur de mon agence. Je me suis trouvée face à un jeune diplômé (genre HEC), très petit et très bien habillé. Me voilà une femme d’un certain âge, un peu rondelette disons-nous (c’était avant mes vœux pour perdre du poids) et qui ne faisait pas rentrer des masses d’argent. L’avantage était évidement de son côté.
Je peux dire que l’humiliation a duré une bonne heure. Je me sentais devenir de plus en plus rouge pendant que ce jeune directeur m’a mise à ma place et a fini par daigner me donner des cours de comptabilité (ce dont j’avais besoin). Il faut comprendre que j’habite à la campagne et comme beaucoup de personnes à la campagne je ne mène pas une vie de citadin sophistiqué. Le directeur m’a bien expliqué qu’il avait « remonté les bretelles » (mon expression) à d’autres artisans dans le coin et qu’en plus, pour les cours de comptabilité dont il me faisait gratuitement un cadeau, d’autres gens paieraient plusieurs centaines d’euros. Bref, je n’avais qu’un très court délai pour redresser mes finances.
Je n’ai pas pleuré devant lui mais je priais pour disparaître comme si par magie dans un grand trou. J’étais si rouge d’humiliation qu’il a dû faire au moins 30° dans son petit bureau. Je n’étais pas loin de la combustion spontanée (tiens ! voilà une solution !).
Transpirant profondément j’ai promis de mettre de l’ordre dans mes affaires le plus rapidement possible. De toute façon je n’avais pas d’autre réponse à lui fournir.
Je suis sortie de son bureau et, arrivée dans ma voiture, j’ai pleuré et pleuré et pleuré. De rage, d’humiliation. En me calmant je me suis dit que le directeur avait raison et qu’il fallait que je mette un peu d’ordre dans mes finances mais sauf miracle, je n’avais pas vraiment de solution.
Voilà un avantage de l’astrologie (entre d’autres voies bien sûr). Depuis le début de mes études en astrologie j’avais commencé petit à petit (très lentement !!!) à écouter les messages des astres. Et petit à petit la sagesse descendait en moi. Grâce à Pluton, ce n’était plus question de ma volonté contre le cosmos. N’oublions pas que Pluton dépouille insidieusement et je suis plutonienne. Et Saturne venait de passer sur mon MC (structuration de ma destinée) mais parce que j’avais continué à vivre sur un mode jupitérien (dépensons maintenant et réglons demain) il fallait que Saturne frappe au niveau pratique et avec un message que je n’allais pas oublier sitôt.
J’ai dûment commencé à mettre de l’ordre dans mes finances et j’ai rempli mon premier chèque d’abondance, n’y croyant pas trop (mais on n’est pas obligé d’y croire). Sauf miracle, je n’avais pas les moyens de tout renflouer. J’ai plié le chèque et je l’ai oublié (suivant les conseils que l’on m’avait donnés).
En janvier 2008 j’étais devant mon ordinateur quand le téléphone a sonné. « Je suis Monsieur C…. le nouveau directeur de l’agence. Je vois que vous avez quelques difficultés financières et j’ai rédigé les papiers pour un découvert autorisé. Voulez-vous passer à l’agence les signer. »
C’est une histoire absolument vraie. Quand je suis allée à l’agence j’ai vu que l’installation du nouveau directeur avait été si rapide qu’il n’avait pas de papier en-tête avec son nom. L’ancien directeur s’était volatilisé comme si par magie (transféré dans une autre agence). Je me souviens que j’ai pleuré et j’ai remercié le nouveau directeur de m’avoir traitée comme un être humain. Petit à petit tout est rentré en ordre, je n’ai plus de problèmes, l’argent ne coule pas à flots mais je gère mes comptes.
Belle histoire, non ? Le chèque d’abondance avec mes propres efforts saturniens ne m’avaient pas apporté ce que j’aurais voulu (quelques milliers d’euros, par exemple) mais CE DONT J’AVAIS BESOIN. Et c’est cela qu’il faut comprendre avec Saturne. Il n’y a pas de miracle mais en même temps, si vous écoutez son message, si vous faites les efforts nécessaires, oui, il y a des miracles, mais pas forcément comme on aimerait qu’ils soient, mais finalement mille fois mieux. J’ai fini par me responsabiliser et en le faisant, c’est comme si j’avais décidé de coopérer avec les astres et au moment où j’ai commencé à marcher sur la voie de la responsabilité personnelle (mots saturniens) la vie pratique a commencé à devenir plus agréable. Je ne suis toujours pas un as de la comptabilité mais je gère et j’en suis contente et jamais plus je me laisserai tenter par la face obscure de Jupiter.
J’aimerais finir, pour vous encourager, avec un petit courrier d’une amie qui a fait ses vœux de la Nouvelle Lune, tout en sachant qu’il me semble que les « miracles » s’accompagnent de responsabilité. Bonne entrée de Saturne en Balance.
Bonjour Jackie,
Nous avons signé un compromis de vente hier soir avec le notaire et nous devons signer l’acte authentique le 9 janvier 2010.
J’ai la preuve que la nouvelle lune a été décisive et que tes prévisions étaient justes. C’est super et merci pour ton soutien. On va commencer les cartons….
A bientôt.
PS : si cela ne te dérange pas, j’aimerai bien continuer à recevoir ton blog…
R…..
J’ai reçu deux demandes pour que je raconte l’histoire de mon premier chèque d’abondance. La voici.
Vers la fin 2007 j’avais des difficultés financières et je n’arrivais pas à gérer mon compte professionnel. Mes clients ne me payaient pas forcément en temps et en heure et je n’avais pas de découvert autorisé. Je suis sûre que tout le monde connaît le scénario. Je dois dire aussi que je ne faisais pas le nécessaire pour mettre de l’ordre dans mes affaires. Je laissais traîner la situation, comme toute bonne jupitérienne (Jupiter régit aussi ma Maison II – les finances) et ma banque a fini par ne plus régler mes prélèvements automatiques, tout en me faisant payer les agios. Tout le monde sait qu’une telle situation est le début d’une spirale infernale – une spirale descendante bien sûr.
Finalement, j’étais « invitée » à aller voir le directeur de mon agence. Je me suis trouvée face à un jeune diplômé (genre HEC), très petit et très bien habillé. Me voilà une femme d’un certain âge, un peu rondelette disons-nous (c’était avant mes vœux pour perdre du poids) et qui ne faisait pas rentrer des masses d’argent. L’avantage était évidement de son côté.
Je peux dire que l’humiliation a duré une bonne heure. Je me sentais devenir de plus en plus rouge pendant que ce jeune directeur m’a mise à ma place et a fini par daigner me donner des cours de comptabilité (ce dont j’avais besoin). Il faut comprendre que j’habite à la campagne et comme beaucoup de personnes à la campagne je ne mène pas une vie de citadin sophistiqué. Le directeur m’a bien expliqué qu’il avait « remonté les bretelles » (mon expression) à d’autres artisans dans le coin et qu’en plus, pour les cours de comptabilité dont il me faisait gratuitement un cadeau, d’autres gens paieraient plusieurs centaines d’euros. Bref, je n’avais qu’un très court délai pour redresser mes finances.
Je n’ai pas pleuré devant lui mais je priais pour disparaître comme si par magie dans un grand trou. J’étais si rouge d’humiliation qu’il a dû faire au moins 30° dans son petit bureau. Je n’étais pas loin de la combustion spontanée (tiens ! voilà une solution !).
Transpirant profondément j’ai promis de mettre de l’ordre dans mes affaires le plus rapidement possible. De toute façon je n’avais pas d’autre réponse à lui fournir.
Je suis sortie de son bureau et, arrivée dans ma voiture, j’ai pleuré et pleuré et pleuré. De rage, d’humiliation. En me calmant je me suis dit que le directeur avait raison et qu’il fallait que je mette un peu d’ordre dans mes finances mais sauf miracle, je n’avais pas vraiment de solution.
Voilà un avantage de l’astrologie (entre d’autres voies bien sûr). Depuis le début de mes études en astrologie j’avais commencé petit à petit (très lentement !!!) à écouter les messages des astres. Et petit à petit la sagesse descendait en moi. Grâce à Pluton, ce n’était plus question de ma volonté contre le cosmos. N’oublions pas que Pluton dépouille insidieusement et je suis plutonienne. Et Saturne venait de passer sur mon MC (structuration de ma destinée) mais parce que j’avais continué à vivre sur un mode jupitérien (dépensons maintenant et réglons demain) il fallait que Saturne frappe au niveau pratique et avec un message que je n’allais pas oublier sitôt.
J’ai dûment commencé à mettre de l’ordre dans mes finances et j’ai rempli mon premier chèque d’abondance, n’y croyant pas trop (mais on n’est pas obligé d’y croire). Sauf miracle, je n’avais pas les moyens de tout renflouer. J’ai plié le chèque et je l’ai oublié (suivant les conseils que l’on m’avait donnés).
En janvier 2008 j’étais devant mon ordinateur quand le téléphone a sonné. « Je suis Monsieur C…. le nouveau directeur de l’agence. Je vois que vous avez quelques difficultés financières et j’ai rédigé les papiers pour un découvert autorisé. Voulez-vous passer à l’agence les signer. »
C’est une histoire absolument vraie. Quand je suis allée à l’agence j’ai vu que l’installation du nouveau directeur avait été si rapide qu’il n’avait pas de papier en-tête avec son nom. L’ancien directeur s’était volatilisé comme si par magie (transféré dans une autre agence). Je me souviens que j’ai pleuré et j’ai remercié le nouveau directeur de m’avoir traitée comme un être humain. Petit à petit tout est rentré en ordre, je n’ai plus de problèmes, l’argent ne coule pas à flots mais je gère mes comptes.
Belle histoire, non ? Le chèque d’abondance avec mes propres efforts saturniens ne m’avaient pas apporté ce que j’aurais voulu (quelques milliers d’euros, par exemple) mais CE DONT J’AVAIS BESOIN. Et c’est cela qu’il faut comprendre avec Saturne. Il n’y a pas de miracle mais en même temps, si vous écoutez son message, si vous faites les efforts nécessaires, oui, il y a des miracles, mais pas forcément comme on aimerait qu’ils soient, mais finalement mille fois mieux. J’ai fini par me responsabiliser et en le faisant, c’est comme si j’avais décidé de coopérer avec les astres et au moment où j’ai commencé à marcher sur la voie de la responsabilité personnelle (mots saturniens) la vie pratique a commencé à devenir plus agréable. Je ne suis toujours pas un as de la comptabilité mais je gère et j’en suis contente et jamais plus je me laisserai tenter par la face obscure de Jupiter.
J’aimerais finir, pour vous encourager, avec un petit courrier d’une amie qui a fait ses vœux de la Nouvelle Lune, tout en sachant qu’il me semble que les « miracles » s’accompagnent de responsabilité. Bonne entrée de Saturne en Balance.
Bonjour Jackie,
Nous avons signé un compromis de vente hier soir avec le notaire et nous devons signer l’acte authentique le 9 janvier 2010.
J’ai la preuve que la nouvelle lune a été décisive et que tes prévisions étaient justes. C’est super et merci pour ton soutien. On va commencer les cartons….
A bientôt.
PS : si cela ne te dérange pas, j’aimerai bien continuer à recevoir ton blog…
R…..
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